1, 2 et 3 - PS

Dans l’esprit des programmes 2015, « l'album des premiers nombres 1, 2 et 3 » permet de découvrir les trois premiers nombres en favorisant un authentique dénombrement, en évitant le comptage-numérotage, et en s'appropriant leurs décompositions.

10 scénarios illustrés sont proposés dans cet album :

• les jouets, avec des nounours, des voitures, des ballons
• les animaux de la ferme, avec des poules, des vaches et des cochons
• la cuisine, avec des chats, des souris et des fromages
• les vêtements, avec des chaussettes, des jupes et des pantalons
• les fruits, avec des bananes, des fraises et des pommes
• les légumes, avec des poireaux, des carottes et des tomates
• le goûter, avec des gâteaux, des pommes et des fillettes
• le jardin, avec des fleurs, des papillons et des arbres
• la pêche, avec des tortues, des poissons et des pêcheurs
• la salle de classe, avec des tables, des chaises et des garçons

Le principe : parmi plusieurs collections, l'élève doit trouver celle qui a un nombre donné d'unités et justifier sa réponse en utilisant une décomposition du nombre. Par exemple : « Il y a trois… trois cochons ! Deux là et un là. Trois, c'est deux et encore un. »

« L'album des premiers nombres 1, 2 et 3 » offre la possibilité d'une première rencontre avec les constellations du dé et les chiffres en tant que nombres. Il contient également un guidage pédagogique qui présente la démarche.

Dans la série « Albums des premiers nombres », retrouvez également « L’album des premiers nombres 2, 3, 4 et 5 ».

La série des « Albums des premiers nombres » s'utilise en complément des séries « Albums à calculer » et « Fiches à comparer », dans la collection J'apprends les maths Maternelle.

L'articulation entre les collections est aisée. Par exemple, pour le nombre 4 :

• on identifie « ce qui fait 4 » avec les Albums des premiers nombres
• on compare 4 aux nombres plus petits que lui avec les Fiches à comparer
• on décompose une collection de 4 avec les Albums à calculer

A noter, toutes les illustrations sont d'Émilie Graebling.